Uyuni ce n'est pas fini !

L'attraction phare de cette ville est le Salar à proximité, le plus grand de la planète, 150km par 100km. Il se situe à 3650 m d'altitude.


Les pluies de janvier à février, n'ont pas encore été suffisamment évaporées pour que la conduite sur le Salar soit complètement sereine. Le sel est encore humide et des zones sont complètement immergées sous 30 cm d'eau. À commencer par l'entrée du Salar, sur 500 m il faut traverser un cours d'eau dans une bouillie de sel. C'est comme de la conduite sur neige.


Pas très loin il y a un centre d'extraction.


À notre grande surprise il n'y a qu'une épaisseur (30 bon cm) de sel, dessous c'est de l'eau. Comme un lac gelé.



Un peu plus loin le monument au Dakar. Pas de drapeau français, malheureusement nous n'en avions pas pour corriger cela.



Pour le camp de base de cette nuit un peu particulière nous avons que l’embarra du choix. Quelle plaisir de se retrouver comme seul au monde. Par chance c'est une nuit sans lune. Le ciel étoilé est magnifique.



Cette étendue blanche donné de bons effets de perspective. Alors on s'en est donné à cœur joie.

Pour l'éducation des enfants certains les écrasent.


D'autre les élèvent.


À moins qu'en réalité ils les écrasent encore plus.


Il suffit pourtant de tendre la perche.

et puis tout rentre dans l'ordre.















Après la traversée salée de la rivière du Salar une douche s'impose pour "Marcel".


Le voilà fin prêt pour d'autres découvertes à moins que son petit bruit suspect soit plus grave que du sel mal placé...


En effet le roulement a rendu l'âme. Ce n'est pas le bout du monde à réparer quand on a la pièce. Mais voilà bien sur nous ne l'avons pas. Nous sommes samedi difficile d'avoir des infos certaines avant lundi.


Alors en attendant nous en profitons pour faire un tour dans la ville.


Goûter aux plats locaux. La "sopa de mani" un régal, poulet grillet accompagné de "choclo" (mais blanc). 


Nous regardons le défilé des écoles en se disant qu'on avait bien de la chance de n'avoir pas eu à subir cela.

Lundi, verdict la pièce est introuvable en Bolivie. On s'en remet donc au savoir faire des gens sur place. Par chance nous sommes vraiment bien tombé. Le support de roulement sera réparé et ré-usiné chez Marcelo le tourneur. Des roulements de Toyota assureront la réparation provisoire.

Bon on a un peu déchanté quand au montage le support de roue touché le disque de frein. Qu'à cela ne tienne notre mécano "Nicolas" fais usiner une bague pour faire une sur-épaisseur.

Et voilà le tour est joué. En 4 jours c'est reparti ! Mais vers où ? Maintenant que nous devons remplacer cette pièce pour une réparation définitive. À notre grand regret la solution la plus raisonnable semble être Iquique (Chili).

La nuit portant conseil la solution raisonnable ne nous fait vraiment pas envie, alors on mise sur la solidité de la réparation pour poursuivre notre route en Bolivie direction Potosie.

Commentaires

  1. Excellent les photos �� lilie

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  2. ♥♥♥♥♥6 mai 2018 à 12:04

    Trop génial. Ils se sont bien prêtés au jeu vos petits "playmobiles" ☺☺

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  3. Superbes photos ! C'est magique :-)

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